inCORPUS® mesure le capital énergétique d’un athlète pour évaluer sa condition physiologique à partir d’une analyse multidimensionnelle de la VFC. Pour chaque entraineur, c’est l’outil digital de suivi à distance de l’entraînement de ses sportifs. Pour chaque athlète, c’est l’outil diagnostic qui lui permet de rester performant en se maintenant en forme à distance.
À chaque profil de forme, inCORPUS® propose des remédiations personnalisées et spécifiques. Ces remédiations, accessibles exclusivement par abonnement, sont de cinq ordres :
Très bon profil énergétique
Bon profil énergétique
Profil énergétique dégradé sans état de fatigue
Profil énergétique montrant une fatigue aiguë
Profil énergétique montrant une fatigue forte qui devient chronique
Profil énergétique une fatigue forte à très forte chronique
Profil énergétique montrant une fatigue avec altération du contrôle de la pression artérielle
Profil énergétique de fatigue montrant un défaut d’activation physique
inCORPUS® est la fusion de 5 sciences convergentes : médecine, biologie, physiologie, datas sciences, machine learning et web. 3 facteurs déterminants qui font d’inCORPUS® un outil de diagnostic innovant.
inCORPUS® est la seule Technologie à fonder ses analyses sur des informations objectives fournies par les modulations ortho et parasympathiques du SNA Système Nerveux Autonome capturées au niveau du cœur grâce au cardio-fréquencemètre.
inCORPUS® est le seul modèle prédictif capable d’identifier et prédire une fatigue, un risque de surentrainement, voire un burn out.
inCORPUS® fonde ses analyses sur un protocole garant de la fiabilité des résultats. Celui-ci conduit à prendre des mesures en position couchée et debout dans un espace-temps de 10 minutes au réveil à jeun.
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S'inscrirehttps://journals.plos.org/plosone/article/file?id=10.1371/journal.pone.0242303&type=printable
Nos recherches menées au sein de becare SA, grâce à son produit inCORPUS ont permis d'enregistrer la variabilité cardiaque chez 95 individus avant pendant, durant et après le confinement strict en France (17 mars - 11 mai 2020).
Les résultats ont montré que la majorité des personnes (80%) ont vécu le confinement avec difficulté, ce qui s'accompagnait d'une dégradation générale de l'état cardiovasculaire. Seul 20% des personnes ont amélioré leur quotidien et avait une meilleure santé en fin de confinement. Parmi les facteurs pouvant expliquer les effets délétères du confinement sur la santé, il y avait la diminution probable de l'activité physique (comme rapportée par Santé Publique France), ainsi que le climat anxiogène et la diminution des interactions sociales.
Cet article à été repris dès sa sortie par plusieurs compte tweeter et dans la presse.